jeudi 25 octobre 2018

La fin qui nous attend

Auteur : Ryad Girod 
Edition : Barzakh 
Nombre de page 161 
Edité en 2015

Résumé

Un séisme vient de frapper dans une ville indéterminée en proie à une guerre civil. Chaos et barbarie s’installent tandis que les gens du pouvoir continuent d’évoluer dans leur bulle décadente : l’apocalypse semble imminente. 
Au cœur de ces ténèbres, un militaire misanthrope, désabusé et amateur de whisky soliloque. Pour lui, aucune rédemption n’est possible . Alors il cède peu a peu à la violence. Seule Douce__ une jeune femme officiant dans un hammam et lui prodiguant soin et amour __ semble trouver grâce aux yeux de cet homme abimé qui ne croit plus en rien, ni en ses proches ni même à la mission qu’on lui a confiée... 
Dans une style et une narration qui hypnotise, Ryad Girod nous livre ici une médiation métaphasique sur l’absurde, le bien et le mal, l’amour et la quête d’absolu. Un texte court, énigmatique, à l’élégance cruelle. 

Avis  

Tout commence par un tragique événement, un séisme ébranle une ville anonyme dont une prophétie prédisait son arrivé , un séisme qui dura quarante seconde suffi pour détruire et semer le chao, le personnage principal (qui est aussi anonyme) est militaire fervent amateur de whisky, tombe dans l’excès en voyant le monde s’crouler autour de lui, à travers ce personnage cynique on découvre autant que lecteur d’effroyables seines d’apocalypse , dans une ville livré a la dérive inhumaine, entre les incriminations d’extrémistes et le comportement animale de ses habitants.
 
D'autres personnages tout aussi mystérieux que le personnage principal font leur apparition au fur et a mesure de l’avancement des événements, pour en citer un exemple celui de Douce, cette jeune femme officiant dans un hammam semble faire tourné la tète a notre personnage principal et semble lui apporté amour et bonheur. 

L’auteur dans une démarche minutieusement travailler, relate le sens de l’humanité, d’une société en perte de valeur et d’humanisme, nous fait une démonstration par l’absurde de la déshumanisation des sociétés.
 – à Alger.


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